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Les photographies de Jennifer Gough-Cooper s'attardent sur les détails et font ressortir l'immense force érotique des sculptures de Rodin, révélant les sensuelles formes impressionnistes avec une merveilleuse qualité picturale. Ce que nous montrent ici les photographies de Gough-Cooper n'est ''rien moins que l'éveil de la pierre, la pierre révélée par l'appareil-photo''.
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Model | 9782878112818 |
Publisher | Thames & Hudson |
Format | Relié |
Language | Français |
Considéré de son vivant comme le Michel-Ange des temps modernes, Auguste Rodin a su refléter les multiples facettes de la condition humaine. Il a défié la notion même de forme en considérant les détails comme des oeuvres achevées. L'influence de chefs-d'oeuvre tels que Le Penseur, Idole Eternelle, Le Baiser ou Les Bourgeois de Calais demeure, presque cent ans après sa mort, d'une puissance indiscutable. C'est en visitant pour la première fois en 1996 l'Hôtel Biron à Paris que Jennifer Gough-Cooper, tombée sous le charme de l'endroit, décida d'entreprendre un travail photographique sur Rodin. Dans ce musée, château du XVIIIe siècle où l'artiste vécut et travailla, la sculpture est ici chez elle, parfaitement à sa place. L'architecture des lieux est grandiose et des flots de lumière pénètrent dans les salles à travers de vastes fenêtres, baignant les sculptures de couleurs délicates. Les photographies de Jennifer Gough-Cooper s'attardent sur les détails et font ressortir l'immense force érotique des sculptures de Rodin, révélant les sensuelles formes impressionnistes avec une merveilleuse qualité picturale. Dans une très belle introduction, l'écrivain anglais Geoff Dyer s'interroge sur la manière dont un médium - la photographie - qui se limite au visible et à la surface des choses peut révéler une dimension plus profonde, cachée dans les profondeurs de la pierre.''Gough-Cooper nous rappelle subtilement que le blanc est en soi une couleur qui se prête à des changements incessants de perspective et de lumière, écrit-il. A certains moments, il prend même la couleur de la chair''. Ce que nous montrent ici les photographies de Gough-Cooper n'est ''rien moins que l'éveil de la pierre, la pierre révélée par l'appareil-photo''.
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