Our webstore uses cookies to offer a better user experience and we consider that you are accepting their use if you keep browsing the website.
Le trésor d’Oignies, composé d’une cinquantaine d’objets et surtout de pièces d’orfèvrerie, fait partie depuis 1978 des « Sept merveilles de Belgique ». Il est associé à l’histoire au XIIIe siècle du prieuré Saint-Nicolas d’Oignies (près de Namur), fondé vers 1192.
1 item in stock items in stock
Last product in stock!
Model | 9782878443615 |
Artist | Arts décoratifs, 13e siècle |
Author | Julien De Vos, Christine Descatoire Séverine Lepape |
Publisher | Musée de Cluny / Faton |
Format | Ouvrage broché |
Number of pages | 96 |
Language | Français |
Dimensions | 280 x 220 |
Published | 2024 |
Museum | Musée de Cluny , Paris |
Catalogue de l’exposition « Merveilleux trésor d’Oignies, éclats du XIIIe siècle », présentée au musée de Cluny, Paris (19 mars - 20 octobre 2024).
L’extrême raffinement des objets, la maîtrise technique et la préciosité des matériaux, ainsi que l’histoire particulière des pièces en font un ensemble de réputation internationale.
Le prieuré Saint-Nicolas d’Oignies est devenu célèbre grâce à la rencontre de trois personnalités remarquables : la mystique et ascète Marie d’Oignies († 1213) ; le prélat Jacques de Vitry († 1240), prédicateur et chroniqueur brillant, principal mécène du prieuré ; et l’orfèvre Hugues de Walcourt, dit Hugo d’Oignies († vers 1240), qui fit du prieuré un important foyer de création, actif jusqu’en 1260 environ.
L’artiste Hugo innove par la profusion des nielles, filigranes, motifs naturalistes et cynégétiques, et s’inscrit dans l’art septentrional de la première moitié du XIIIe siècle, dans le sillage du « style 1200 », tandis que les productions de l’atelier seul, après 1240, relèvent de l’art gothique.
Le trésor d’Oignies a connu une histoire mouvementée. À la suite de la Révolution française, le prieuré est supprimé, et le trésor caché dans une ferme en 1794 puis confié en 1818 au couvent des sœurs de Notre-Dame à Namur. Devenu en 2010 propriété de la Fondation Roi Baudouin, il est déposé à la Société archéologique de Namur pour être exposé par la province de Namur au TreM.a-musée des Arts anciens du Namurois.
Recently viewed items