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Si plusieurs ouvrages ont déjà traité de l’importance de l’impressionnisme français pour la peinture, les rapports entre ces peintres venus des États-Unis pour étudier l’art français et leur rôle dans la découverte de Courbet par les collectionneurs et mécènes américains n’y était pas clairement évoqué. Il restait à l’expliquer. C’est précisément le but de ce livre.
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Model | 9782359063363 |
Artist | Impressionnisme |
Author | Frédérique Thomas-Maurin, Flavie Durand-Ruel Mouraux, Mary Morton, Isabelle Enaud-Lechien |
Publisher | Liénart / Musée Courbet |
Format | Ouvrage relié |
Number of pages | 168 |
Language | Français |
Dimensions | 270 x 210 |
Technique(s) | 80 illustrations |
Published | 2021 |
À l’origine de cette aventure américaine, il y eut le marchand d’art parisien, Paul Durand Ruel. Au début des années 1870, il décida, avec le soutien de la peintre, originaire de Philadelphie, Mary Cassatt, de « … révolutionner ce pays de milliardaires » et d’y faire entrer, entre autres, les plus belles œuvres impressionnistes et les meilleures toiles de Courbet, dont beaucoup font, aujourd’hui encore, la gloire des grands musées américains et de prestigieuses collections privées.
Flavie Durand-Ruel, historienne de l’art, descendante de l’illustre galeriste, et Mary Morton, conservatrice à la National Gallery de Washington, spécialiste de Mary Cassatt, nous rappellent le rôle essentiel de ces deux découvreurs de la jeune peinture française
Il fallait évoquer les connivences du peintre James Abott McNeill Whisler avec Courbet et les impressionnistes. Whisler fit son apprentissage au plus près de Courbet et tous deux partagèrent une passion commune pour Joanna Hifferman, la belle irlandaise qui posa pour eux. Isabelle Enaud-Lechien, maître de conférences à l’Université de Lille, auteur d’une thèse de doctorat sur Whisler, nous explique ici l’émulation qui le lia à Courbet.
Enfin, l’intérêt pour cette peinture moderne provoqua chez beaucoup d’artistes américains l’envie de venir étudier en France et bientôt le voyage vers Paris se fit de manière presque obligée, comme autrefois l’on faisait le Voyage d’Italie. Ils s’installèrent auprès de maîtres, Gauguin à Pont-Aven ou Monet à Giverny. Puis ils rentrèrent chez eux et transmirent à leur tour ce qu’ils avaient appris mais en créant un courant plus personnel aux résonances nationales dont l’impressionnisme américain devait naître.
Emily C. Burns, enseignante à l’Université d’Auburn en Alabama et professeur invitée à l’Université d’Oxford comme spécialiste de cet exode artistique, en retrace pour nous l’histoire.
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