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Quarante créateurs rencontrés, observés, côtoyés, quarante ans durant et qui dressent, au travers de leur œuvre, un portrait vivant de la création française.
Comment se pose, aujourd'hui, la question de la mise en histoire de la performance dans sa relation à l'archive, dans son rapport à une réflexion théorique et un discours critique sur le féminisme et les gender studies, dans son lien aux pratiques contemporaines ?
L'art du XVIIIe siècle est souvent perçu comme une marche progressive du petit goût rocaille vers un grand goût classique. Cette exposition souhaite, au contraire, mettre en lumière les différentes expériences qui, dans l'Europe entière, ont été menées pour renouveler les formes et les thèmes artistiques, entre 1720 et 1790.
Le livre de Clémentine Gustin Gomez analyse pour la première fois cette époque de transition fondamentale mais méconnue, ses débats, ses influences italiennes ou flamandes, le goût des commanditaires épris d'une liberté nouvelle.
Comme pour la plupart des grands peintres européens du XVIIe siècle, tout l’œuvre peint de Zurbarán, l’un des plus illustres artistes du Siècle d'Or espagnol, ne peut plus être étudié sans inclure le travail de son important atelier.
"Le sujet important n'est pas de Gaulle et Paris, ni Malraux et Paris, mais Pompidou et Paris."
La richesse du patrimoine religieux breton n'est plus à démontrer. Pourtant l'étude de la peinture religieuse bretonne aux XVIIe et XVIIIe siècles, négligée par les érudits en raison de sa pauvreté supposée, restait encore à découvrir.
Les biographies d'Edmond et Jules de Goncourt sont précieuses. L'invention de la femme au XVIIIe siècle est à porter à leur crédit. Ils ont peint la femme avec des couleurs flamboyantes dignes des plus grands pinceaux. Ils ont donné aux femmes qui ont retenu leur attention ce privilège qu'octroient à leurs modèles les grand écrivains : l'existence.
Pour la première fois, la véritable histoire de la saga politique et culturelle du Grand Louvre nous est révélée par un de ses acteurs majeurs.
L’exposition Tivoli. Variations sur un paysage au XVIIIe siècle propose une réflexion originale sur l’évolution du paysage, de 1720 à 1830, autour d’un motif particulier : le site de Tivoli et son célèbre temple dit de la Sibylle.
Le château de Fontainebleau offre le souvenir de plus de 700 ans de présence des souverains en France, de l’intronisation de Louis VII en 1137 jusqu’à la chute du Second Empire en 1870.
Catalogue de l'exposition du cabinet de dessins Jean Bonna, cet ouvrage présente pour la première fois le recueil de caricatures légué par Louise Garnier, la femme de l'architecte, en 1922 et restauré en 2008-2009. Exécutés par l'artiste tout au long de sa carrière, cet ensemble est...
En 1907, le roi Edouard VII d'Angleterre et son épouse, la reine Alexandra, passèrent une commande au joailler impérial de Russie, Carl Fabergé, pour créer une ménagerie en miniature rassemblant tous les animaux de leur domaine de Sandringham à Norfolk.
Refus des élégances et des traditions académiques, découvertes et fréquentations d'oeuvres issues de cultures considérées comme « barbares » ou « archaïques » par l'Occident, le primitivisme est l'une des données centrales de l'histoire des avant-gardes artistiques à partir de la fin du XIXe siècle.
En un siècle où le toucher devient une des préoccupations majeures de la philosophie, la peinture de Chardin (1699-1779) met visuellement le spectateur en présence du rapport tactile de l'homme au monde.
Lors de l'exposition annuelle de Paris, les artistes de la Casa de Velázquez font connaître les travaux qu’ils ont réalisés à Madrid au cours de l’année écoulée.
L’artiste Antonio Recalcati, subjugué par la découverte de la merveilleuse synagogue baroque de Casale Monferrato, une petite ville du Piémont qui accueillit autrefois une florissante communauté juive, a entrepris, il y a une vingtaine d’années, de mobiliser des amis artistes et designers, italiens ou...
Le 12 septembre 1886, Claude Monet débarque au port de Le Palais, à Belle-Île. Il y séjournera dix semaines.
Réédition de l'ouvrage publié en 1967 par Antoine Schnapper sur les tableaux peints pour décorer le Grand Trianon. Cette édition a été mise à jour par Nicolas Milovanovic. Certaines oeuvres, qui étaient répertoriées dans la 1ere édition mais non localisées, ont réapparu, elles sont ici reproduites.
Picasso, Duchamp, Cocteau, mais aussi Hemingway, Joyce ou Chanel, Man Ray les a tous photographiés.
L'élongation des membres, la frontalisation des volumes, l'effacement du modelé, l'hiératisme des poses, le décharnement des figures, la recherche du type et du signe - autant de traits de l'art byzantin dont le grand historien André Grabar repère la source dans les courants néo-platoniciens du IIIe siècle après J. -C.
En contrepoint de l'évocation artistique des années 1500, qui fait l'objet d'une importante exposition cet automne au Grand Palais, l'ouvrage de Didier Le Fur présente l'état de la France à cette époque mal connue où s'est opérée une subtile transition entre Moyen Age et Renaissance.
De Delacroix à Paul Klee, en privilégiant l'expression française, cet ouvrage retrace les étapes du mouvement artistique multiforme de l'orientalisme au XIXe siècle et au début du XXe siècle.
Peint par Nicolas Poussin (1594-1665) en 1657, le tableau de La Fuite en Egypte compte parmi les plus grandes découvertes de l'histoire de l'art. Bien que connue par les témoignages d'illustres contemporains de l'artiste, cette œuvre n'est réapparue qu'en 1986 et n'a pu être acquise par le musée des Beaux-Arts de Lyon qu'en 2007.
Le dôme des Invalides, la galerie des Glaces et la chapelle royale de Versailles, la place Vendôme... Qui ne connaît ces chefs-d'oeuvre de l'architecture française du XVIIe siècle? Célèbres dans le monde entier, ces ensembles qui chantent la gloire de Louis XIV ont un auteur commun : Jules Hardouin-Mansart (1646-1708).
Folie et paradis artificiels... où puise la création ? De l'art brut aux années pop : 4e opus de la collection Sainte-Anne. Ce nouveau catalogue raisonné présente ces œuvres méconnues du public, et rarement exposées hors de Paris. Leur inventaire, le plus complet possible, les situe en outre dans une...
Un parcours en images des œuvres les plus significatives de l'exposition "Arman", étoffé de nombreux textes et citations.
Pendant plus de soixante ans, Claude Monet a peint sans relâche, élaborant une oeuvre qui incarne l’expression la plus pure de l’impressionnisme, pour constituer au début du XXe siècle un des fondements de l’art moderne. C’est l’ensemble de ce parcours riche et fécond que l’exposition des Galeries nationales réinterroge.
En juillet 2010, la mairie de Boulogne-Billancourt a présenté le projet d'aménagement de l'île Seguin mis au point avec le concours de l'agence pour la Vallée de la Culture et l'architecte Jean Nouvel.
Quand l’urbanisme est au service d’une certaine philosophie de la ville engagée dans la préservation des héritages culturels, la conservation traditionnelle mais aussi la production d’un patrimoine architectural rénové prennent le pas sur d’autres forces de progrès.
Très riches et très diverses, l’architecture, la sculpture et la peinture de l’Asie du Sud et du Sud-Est offrent aussi une indéniable unité : elles véhiculent les valeurs et les significations liées au bouddhisme et au brahmanisme, nés tous deux en Inde.
Pourquoi les milieux académiques européens qui dominaient la critique d'art au XIXe siècle jusque vers 1880 nourrissaient-ils tant d'incompréhension à l'égard de la peinture caravagesque, pourquoi ne comprenaient-ils pas l'unité et la puissance expressive de cette peinture?
Ce numéro spécial réunit une quinzaine d'auteurs, critiques, philosophes, historiens de l'art, tous familiers de la création contemporaine.
En 1864, Jean-Baptiste-Camille Corot (1796-1875) expose au Salon un paysage recomposé d'après des études et esquisses réalisées quelques années auparavant dans le parc de Mortefontaine. Un sous-bois au bord de l'étang, la présence évidente de l'eau et du ciel, une pénombre calculée de matinée fraîche et de soirée brumeuse constituent les éléments de ce...
L'artiste américain Joseph Kosuth a été invité par le musée du Louvre à intervenir dans le Louvre médiéval. Artiste conceptuel, travaillant depuis le milieu des années 1960 sur les relations entre les mots et les choses, entre le langage et la représentation, Kosuth écrit depuis plusieurs années des phrases en néon.
Une lecture accessible qui, en présentant soixante-trois pièces exemplaires, introduit à l'histoire et à la symbolique de l'art royal du Bénin.
Un dialogue entre l’imaginaire du patrimoine monégasque et l’univers d’un artiste anglo-nigérian.Maquettes, sculptures, photographies et vidéos, les œuvres de Yinka Shonibare, MDE, sont le fil d’Ariane qui conduisent à la découverte de collections rarement montrées, appartenant à l’histoire artistique de la principauté.
Le changeur et sa femme de Quentin Metsys, la vocation de saint Matthieu du Caravage, le Tricheur à l'as de carreau de Georges de La Tour : trois peintures célèbres qui font place à l'argent, parmi des centaines d'autres souvent moins connues.
Ce qui pourrait apparaître en premier lieu comme un art minimal voire conceptuel est en fait plus proche d’un art environnemental : les réflexions de l’artiste et leur mise en oeuvre portent sur la sensibilité des matériaux, et plus largement sur un rapport physique, sensible, au lieu.
Cet ouvrage propose de redécouvrir l’œuvre d’un architecte qui a exercé une part importante de sa carrière à Rouen.
Le musée Réattu, riche d’une collection photographique exceptionnelle – la première historiquement constituée dans un musée français – consacre une exposition à l’œuvre de Pierre Jahan (1909-2003), dont ce sera la première rétrospective publique en Europe.
Album de l’exposition « Chefs-d’œuvre » présentée au Centre Pompidou-Metz (12 mai - 25 oct. 2010).
Avec son livre-culte The Rise of the Creative Class (2002), Richard Florida a imposé ses travaux sur les effets de la classe créative et du secteur culturel sur la compétitivité des villes.
A une époque où l'esthétique française affine son statut de discipline scientifique, les architectes convoquent à leur tour un ensemble aux frontières mouvantes, articulant physiologie sensorielle, psychologie ou sociologie, et perméable à des courants plus ésotériques.