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Dans cet essai critique, Didier Rykner égrène ses arguments contre les délocalisations du musée du Louvre à Atlanta (Géorgie, Etats-Unis) ou à Abou Habi (Emirats arabes unis). Des plaidoyers qui mettent les directeurs de musée sur la défensive.
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Référence | 9782350390512 |
Editeur(s) | Nicolas Chaudun |
Format | Broché |
Nb. de pages | 160 |
Langue | Français |
Dimensions | 115 x 220 |
Date parution | Mars 2008 |
Le Louvre orphelin de la Joconde, Beaubourg déserté par ses Matisse, et demain, pourquoi pas, Orsay privé de Déjeuner sur l'herbe... Doit-on exporter nos collections nationales comme des produits laitiers ? La question émeut, notamment depuis l'annonce de l'ouverture d'un "Louvre 2 " à Abou Dhabi. Didier Rykner nous hurle que non.
Par cet essai, le fondateur de la très indocile Tribune de l'Art ne se borne cependant pas à ressasser ses griefs, ni à pourfendre une administration soumise à l'omerta. Il met en lumière les mutations de fonds que couve la polémique : le déclin des conservateurs en faveur d'énarques plus soucieux de profit immédiat que de conservation du patrimoine ; l'essoufflement de cette vieille mission de service publique qui visait à édifier le peuple par la contemplation de chefs-d'œuvre érigés en véritables lieux de mémoire... L'événement primerait alors sur la pérennité, l'effet d'annonce sur la connaissance. L'auteur ne veut s'y résoudre, et déploie à l'encontre de ses détracteurs, souvent dédaigneux, parfois légitimes, une argumentation d'une précision implacable.
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