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Cette monographie est consacrée au peintre français Constant Pape (1865-1920), dont l'essentiel de la production concerne les paysages des Hauts-de-Seine au tournant du siècle, livrant une image fidèle de la banlieue entre carrières de craie et fêtes champêtres.
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Référence | 9782359064254 |
Artiste-Genre | Constant Pape |
Auteur(s) | Ouvrage collectif |
Editeur(s) | Liénart |
Format | Ouvrage broché |
Nb. de pages | 168 |
Langue | Français |
Dimensions | 290 x 210 |
Technique(s) | 130 illustrations |
Date parution | 2024 |
Musée | Musée Français de la Carte à Jouer, Issy-les-Moulineaux |
Catalogue de l’exposition Constant Pape (1865-1920). La banlieue post-impressionniste, présentée au Musée d’Issy-les-Moulineaux - Musée Français de la Carte à Jouer (14 février - 13 juillet 2024) et au musée d’art et d’histoire de Meudon (14 septembre 2024 - 26 janvier 2025).
Né à Meudon en 1865, Jean Constant Pape côtoie dès son jeune âge les peintres de plein-air qui viennent poser leur chevalet dans les clairières et sous-bois de Meudon et Clamart. Son père tient en effet une auberge où convergent des paysagistes rattachés à l’École de Barbizon comme Louis-François Français, l’ami et protecteur des impressionnistes Antoine Guillemet, ou encore Paul-Desiré Trouillebert. À leur contact, il développe un goût prononcé pour la peinture de paysage qu’il aiguise en suivant l’enseignement de Français puis de Guillemet.
Un séjour à Auvers-sur-Oise l’amène à s’intéresser aux motifs chers aux impressionnistes et à éclaircir sa palette, dans des compositions aux larges ciels ou de petites pochades prises sur le vif, dans lesquelles il étudie les effets de la lumière sur l’eau, gardant toutefois une fidélité au style classique hérité de ses maîtres, nourrissant une profonde admiration pour Corot.
Ses vues de l’ouest francilien sont présentées chaque année au Salon des Artistes français de 1886 à 1914 (puis en 1920) et il obtient une médaille d’or en 1913 pour un grand paysage intitulé Les Brillants à Meudon. Il complète ses revenus en exerçant en tant que restaurateur de peintures et œuvres graphiques à Paris, tout en participant avec un certain succès à plusieurs concours de peinture décorative pour des mairies d’Île-de-France (Vanves, Noisy-le-Sec, Villemomble, Fresnes). Il effectue un séjour dans le Cotentin, où il peint sur le motif, puis à l’île d’Yeu et au Luxembourg.
L’essentiel de sa production concerne toutefois les paysages des Hauts-de-Seine au tournant du siècle, livrant une image fidèle de la banlieue entre paysages de carrières de craie et fêtes champêtres.
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