Afin d'optimiser votre expérience de navigation, ce site utilise des cookies. En navigant sur ce site, vous en acceptez l'usage.
Au XVe siècle, l’un des plus grands poètes persans, Jâmi, s’empare du récit légendaire de Leyli et Majnûn et en livre une interprétation aux accents mystiques, enrichie de spiritualité soufie. L'ouvrage est illustré de 180 miniatures persanes, mogholes, indiennes, ottomanes et turques du XIVe au XIXe siècle.
Prix Spécial du Livre d'Art d'Ajaccio 2022
0 article en stock : expédié le jour-même (commande avant 14h00) articles en stock : expédié le jour-même (commande avant 14h00)
Expédié sous 5 à 10 jours
Dernier article disponible !
Référence | 9782364371200 |
Artiste-Genre | Miniatures d'Orient |
Auteur(s) | Amina Taha-Hussein Okada, Patrick Ringgenberg, Leili Anvar |
Editeur(s) | Diane de Selliers |
Format | Relié sous coffret |
Nb. de pages | 432 |
Langue | Français |
Dimensions | 330 x 245 |
Technique(s) | 180 illustrations |
Date parution | 2021 |
Poids | 3.5 |
Dans le désert d’Arabie où l’histoire prend place, un poète nommé Qeys aime passionnément une jeune femme, Leyli. Il va devenir majnûn, « le fou » en persan. Envoûté par la beauté de Leyli, Qeys chante son amour à la face du monde. Si, en ce premier siècle de l’Islam, les jeunes gens sont libres de se fréquenter, de se voir et de se parler, la célébration publique de la beauté de Leyli est vécue par le père de cette dernière comme un déshonneur qui interdit tout espoir de mariage.
L’éloignement forcé, l’interdiction de voir et de parler à sa bien-aimée font alors sombrer Qeys – devenu Majnûn – dans la folie. Changé à tout jamais par son amour, il erre dans le désert, peuplant sa solitude des seuls mots de sa poésie. Détaché des biens terrestres, il apprend à se dépasser pour atteindre, par un autre chemin, le bonheur absolu.
Le récit est illustré de miniatures provenant de somptueux manuscrits produits entre le XIVe et le XIXe siècle au sein des cours royales et princières de culture persane et ottomane, de Chiraz à Ispahan, Istanbul et jusqu’à l’Inde avec ses écoles mogholes et du Deccan.
La traduction de Leili Anvar révèle le souffle et l’âme de ce poème.
Patrick Ringgenberg, historien de l’art et des religions, chercheur associé à l’Université de Lausanne, et Amina Taha-Hussein Okada, conservateur général du patrimoine, en charge des arts de l’Inde au musée national des arts asiatiques - Guimet, ont sélectionné et commenté ces chefs-d’œuvre des livres enluminés.
• Sélection "J'aime Le Livre d'Art 2022"
Produits déjà vus