Lettre d'information

Galeristes

Editions Actes Sud - Ouvrage broché - 296 pages - Textes en Français - Publié en 02/09/2010

En interrogeant un large éventail de galeristes sur leur vocation, leurs artistes, leurs clients et leur fonctionnement, Anne Martin-Fugier dresse, à travers ces témoignages d'itinéraires humains, un passionnant panorama du marché de l'art à Paris depuis 1950.

Expédié sous 3 à 6 jours

23,40 €

Seulement 0,01 € de frais d'envoi au dessus de 35€ d'achat en France

Notes et avis clients

personne n'a encore posté d'avis
dans cette langue
Référence 9782742792368
Editeur(s) Actes Sud
Format Ouvrage broché
Nb. de pages 296
Langue Français
Dimensions 210 x 110
Date parution 02/09/2010
Poids 0.300

«J'ai depuis trente-trois ans deux pôles dans ma vie, confie l'auteur, l'histoire culturelle et sociale du XIXe siècle et l'art contemporain. J'ai voulu constituer un témoignage sur quelques galeristes parisiens. Je prends le parti d'interviewer une douzaine de galeristes que je fréquente de longue date et de tracer ainsi une série de portraits en y mettant parfois le grain de sel du collectionneur, en ajoutant un souvenir ou un commentaire. Chemin faisant seront, bien entendu, évoqués des oeuvres et des artistes. Mais ma perspective n'est pas pédagogique, je ne veux pas me centrer sur l'histoire de l'art, j'ai envie de retracer des itinéraires humains.»

Ces galeristes appartiennent à des générations diverses, d'Emmanuel Perrotin qui a quarante et un ans à Lucien Durand qui en a quatre-vingt-neuf et ont tous des parcours très différents, dans leur vie privée (des couples hétérosexuels ou homosexuels qui travaillent ou non ensemble, des célibataires, des familles. Almine Rech a tenu une galerie avec son mari, Cyrille Putman, avant de divorcer, de se remarier avec un petit-fils de Picasso et d'ouvrir une galerie personnelle à Paris, puis une seconde à Bruxelles) comme dans leur évolution professionnelle: l'un est le fils d'un célèbre marchand (Albert Loeb) ; d'autres ont gardé longtemps un travail alimentaire pour faire vivre leur galerie (Frédérique et Philippe Valentin) ; d'autres encore, en pleine ascension, ont ouvert une galerie à l'étranger (Emmanuel Perrotin, Bruno Delavallade).

Ces trajectoires variées, cette richesse d'expériences produisent des témoignages précieux à recueillir. Ils ont envie de raconter mais n'auront probablement jamais le loisir ou la patience de mettre leur récit par écrit. C'est la mission que s'est donnée Anne Martin-Fugier.

Avis

Soyez le premier à donner votre avis !

Produits déjà vus