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De 1908 à 1943, Käthe Kollwitz commente dans son journal la vie de son entourage, le progrès de ses travaux et les vicissitudes, lointaines ou infiniment proches, d'une Europe qui s'enfonce rapidement dans le cataclysme.
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Référence | 9791092444537 |
Artiste-Genre | Käthe Kollwitz |
Auteur(s) | Käthe Kollwitz. Traduction Micheline Doizelet et Sylvie Doizelet |
Editeur(s) | L'atelier contemporain |
Format | Ouvrage broché |
Nb. de pages | 312 |
Langue | Français |
Dimensions | 200 x 160 |
Date parution | 2018 |
Autant de lignes croisées, chez cette artiste à qui la guerre enleva un fils, et qui ne cessa jamais de croire aux vertus politiques de l'art. Ce Journal est non seulement le portrait d'une artiste, un recueil de réflexions sur sa création, un témoignage formidable de ce que peut être en art l'engagement, mais aussi un tableau terrible et dramatique de l'histoire de l'Allemagne du début de la première à la fin de la seconde guerre mondiale.
Käthe Kollwitz est née en 1867 à Königsberg (qui sera rebaptisée Kaliningrad en 1946). Elle a seize ans lorsqu’elle dessine pour la première fois des ouvriers – dessins inspirés tant par les poèmes entendus que par ses incursions dans les quartiers pauvres de Königsberg. Ses parents lui demandent pourquoi elle ne choisit pas de « beaux sujets » de dessin. « Mais ils sont beaux », répond-elle. Pour elle, les arts graphiques conviennent mieux que la peinture à l’expression des aspects les plus sombres de l’existence. Jusqu’à la fin de sa vie, elle renoncera à la peinture et à la couleur.
Ouvrage réalisé en collaboration avec le Musée Käthe Kollwitz de Cologne.
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