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Si Londres est aujourd’hui un des grands marchés de l’art, on oublie souvent qu’elle l’a été depuis trois siècles. Dans une Grande-Bretagne protestante où les monarques et les gouvernements se désintéressaient des arts, les artistes ont dû forger leur destin par eux-mêmes.
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Référence | 9782840505969 |
Editeur(s) | PUPS |
Format | Ouvrage broché |
Nb. de pages | 320 |
Langue | Français |
Dimensions | 210 x 140 |
Date parution | 25/03/2010 |
Poids | 0.400 |
Le caractère cosmopolite de Londres dès le XVIIIe siècle a mis les artistes anglais en rivalité avec ceux du Continent. En même temps, ils ont créé leurs propres circuits commerciaux et leurs propres institutions culturelles d’une manière tout à fait originale.
Ce livre éclaire les divers aspects de cette autonomie qui a caractérisé la scène artistique londonienne et qui a contribué à effacer les frontières entre culture populaire et culture d’élite (comme on le
voit dans l’art de Hogarth). Dans la culture anglaise, la distance n’a jamais été grande des cafés littéraires aux académies, des vauxhalls aux théâtres, de l’oratorio sacré à la chorale populaire.
Jacques Carré est professeur à l’Université Paris-Sorbonne et directeur du Centre d’études urbaines dans le monde anglophone.
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