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Référence | 9782351220467 |
Editeur(s) | Sulliver |
Nb. de pages | 218 |
Langue | Français |
Dimensions | 14cm x 21cm x 1,5cm |
Date parution | 01/10/2008 |
Année de création | 2009 |
Poids | 285 g |
En 1925, face à ce qu'il perçoit comme la crise culturelle de l'Occident, José Ortega y Gasset s'interroge sur l'évolution des formes artistiques vers un « art nouveau » sans forme humaine où prédominent le jeu et le non-sens. La déshumanisation de l'art explore les conséquences esthétiques et sociales du conflit entre ces avant-gardes et la culture bourgeoise triomphante.
Cet essai, suivi de deux articles Idées sur le roman et L'art au présent et au passé, remet l'humain au coeur de la réflexion artistique dans la société occidentale du XXe siècle.
Le philosophe espagnol Ortega y Gasset analyse ici l'évolution des formes artistiques et la place de l'art dans la société, ainsi que son rôle en tant qu'agent social qui éloignerait l'élite et la masse au lieu de les rapprocher. L'auteur veut également témoigner du changement de la sensibilité collective dans l'Europe de l'après Première Guerre mondiale.
Celui pour qui « le plaisir esthétique doit être un plaisir intelligent » offre un regard à la fois curieux, malicieux et pessimiste sur les relations entre l'art et la société. Regard qui trouve très certainement un écho dans nos sociétés occidentales en ce début de XXIe siècle.
Ces textes, écrits en 1925 et publiés dans diverses revues en Espagne et en Argentine, sont traduits pour la première fois en français par Paul Aubert, professeur de littérature et de civilisation espagnoles contemporaines à l'Université d'Aix-Marseille.
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