Afin d'optimiser votre expérience de navigation, ce site utilise des cookies. En navigant sur ce site, vous en acceptez l'usage.
Pendant toute sa carrière, Alberto Giacometti privilégie la figure humaine, et en particulier le visage, comme motif de sa recherche artistique. > Voir détails de l'exposition
Alberto Giacometti passe cinq ans au sein du groupe surréaliste (1930-1935), pendant lesquels il noue des relations amicales durables avec Breton mais aussi d’autres artistes et intellectuels du mouvement.
L’institut Giacometti donne carte blanche à Annette Messager, qui a été invitée à voyager à travers les œuvres de la collection de la Fondation Giacometti et les archives de l’artiste, guidée par le commissaire, Christian Alandete.
Le paysage tient une place importante et pourtant encore méconnue dans l’œuvre d’Alberto Giacometti. Le catalogue propose un regard original et surprenant sur ce thème, à travers une sélection d’aquarelles de jeunesse inédites, de peintures, de dessins et de sculptures emblématiques.
Le désir, ou le besoin, d'associer la peinture à la sculpture apparaît de manière récurrente chez Alberto Giacometti et sous différentes formes au cours de sa carrière. Détails de l'exposition
Avec l'Homme qui marche, Giacometti concentre la puissance évocatrice de son couvre et incarne l'aspiration la plus importante de son époque : humaniser le monde, l'histoire et l'art.
« À la recherche des œuvres disparues » est une enquête sur les traces d’œuvres inédites d’Alberto Giacometti.
Albert-Guillaume Démarest est totalement inconnu du grand public.
Avec près de quatre-vingt oeuvres (peintures, photographies, documents), l'exposition propose d’aborder les relations complexes qu’ont entretenus les peintres avec la photographie au long du XIXe siècle, entre passion et dénigrement.
Naturaliste et historien de l’art, Antoine-Joseph Dezallier d’Argenville (1680-1765) fut aussi un grand collectionneur qui possédait plus de cinq cents dessins et de rares spécimens naturels.