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En avril 1840, Stendhal rédige « Les Privilèges ». À travers ces étranges rêveries de toute-puissance, se lit une sorte de préfiguration des pouvoirs du dispositif cinématographique qui sera mis au point cinquante ans plus tard.
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Référence | 9782840494720 |
Artiste-Genre | Henri Beyle, Stendhal (1783 -1842) |
Auteur(s) | Laurent Jullier, Guillaume Soulez |
Editeur(s) | Seguier |
Format | Broché |
Nb. de pages | 112 |
Langue | Français |
Dimensions | 145 X 135 |
Date parution | 20/07/2006 |
Poids | 0.200 |
Comment ce désir de cinéma entre-t-il en résonance avec le réalisme si particulier de Stendhal, souvent illustré par le travelling imaginaire du « miroir que l'on promène le long d'un chemin » dans « Le Rouge et le Noir » ?
Les auteurs ont mené l'enquête au sein de la réflexion esthétique stendhalienne. Ils décrivent l'effet sur Stendhal de la « transformation du spectateur » en ce début du XIXe siècle, avec l'apparition des nouvelles « machines à images ». Ils reviennent sur sa théorie de « la sensation », en particulier à l'aune des recherches contemporaines sur les expériences de pensée et les modes possibles. Pourquoi ce « montage des reflets » auquel se livre Stendhal nous apparaît-il aujourd'hui comme quelque chose de cinématographique ?
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