Lettre d'information

Théâtres et cafés - Peintures et décors à Lyon (1840-1930)

Histoire de l'art, Lyon, XIXe siècle - Editions Musée Paul Dini - Ouvrage broché - 80 pages - Textes en Français - Publié en 2014

Sous la Troisième République, Lyon voit la naissance d'une peinture de genre reflétant les aspects les plus variés de la vie urbaine : cafés, brasseries, théâtres et édifices civils deviennent des thèmes privilégiés par les peintres.

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Référence 9782905048233
Artiste-Genre Histoire de l'art, Lyon, XIXe siècle
Auteur(s) Sous la direction de Sylvie Carlier
Editeur(s) Musée Paul Dini
Format Ouvrage broché
Nb. de pages 80
Langue Français
Dimensions 260 x 205
Date parution 2014
Musée Musée Paul Dini, Villefranche

Catalogue de l'exposition présentée au Musée Paul Dini, Villefranche (12 octobre 2014 - 8 février 2015).

Les lieux de sociabilité constituent un véritable ciment pour la création artistique : cafés, brasseries, théâtres ont été au cœur des rencontres entre amateurs d’art et artistes, mais aussi entre les artistes eux-mêmes.

À Lyon, les lieux de spectacles furent nombreux entre 1840 et 1930 : le Grand-Théâtre (actuel Opéra), le Théâtre Bellecour, l’Olympia (où vint danser Joséphine Baker) sont autant de lieux dont l’activité intense en matière de scénographie demeure aujourd’hui méconnue. Le théâtre des Célestins était encore une sorte de café lyrique semblable aux alcazars ou eldorados dans toute la province comme à Paris. Le Festival Berlioz a fait de Lyon un point de mire pour les amateurs de musique.

Les théâtres lyonnais, en étirant la zone d’influence des décorateurs municipaux comme Jules Le Goff et Louis Bardey au Casino d’Aix-les-Bains ou encore au théâtre de Valence, ont créé un style propre à la région. C’est aussi le cas des scènes privées plus confidentielles comme Les spectacles d’art libre de Suzette Guillaud, animés par les décors de Pierre Combet-Descombes.

Lyon atteint dans ses plaisirs, en cette première moitié du XXe siècle, les mêmes sommets que la capitale, théâtres, café-concert, guinguettes, guignols se sont partagés les palettes lyonnaises. Chacun s’est peu ou prou plongé dans le rêve du monde du spectacle.

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