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Une rétrospective de l'oeuvre du peintre algérien, Mohammed Khadda, qui retrace son parcours artistique et en particulier sa rupture progressive avec la figuration pour devenir un "peintre du signe", associant la densité des matériaux à la légéreté du trait inspiré par les arabesques de l'écriture arabe.
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Référence | 9789461610751 |
Artiste-Genre | Mohammed Khadda (1930-1991) |
Auteur(s) | Nicolas Surlapierre |
Editeur(s) | Snoeck |
Format | Ouvrage broché |
Nb. de pages | 160 |
Langue | Français |
Dimensions | 280 x 210 |
Date parution | 03/01/2013 |
Epoque | XXe siècle |
Poids | 0.866 |
Afficher le lien de contact | Oui |
Musée | Salle d'exposition de Belfort |
Catalogue de l'exposition "Les casbahs ne s’assiègent pas, hommage à Mohammed Khadda (1930-1991)" présentée à Belfort (26 octobre 2012 - 28 janvier 2013).
Peintre de la trace plus que de la figure, l’univers de Mohammed Khadda, est pour la première fois révélé dans cette rétrospective et retrace le parcours de cet artiste algérien, une des principales figures « des peintres du signe ». Ce nom est donné, en 1970, par le poète et essayiste Jean Sénac aux artistes algériens qui s’inspirent du rythme de l’écriture arabe pour rétablir un contact nécessaire et permanent.
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