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Looking up... Yinka Shonibare MBE

Yinka Shonibare MBE - Editions 5 Continents - Ouvrage broché - 175 pages - Textes en Français - Publié en 02/09/2010

Un dialogue entre l’imaginaire du patrimoine monégasque et l’univers d’un artiste anglo-nigérian.
Maquettes, sculptures, photographies et vidéos, les œuvres de Yinka Shonibare, MDE, sont le fil d’Ariane qui conduisent à la découverte de collections rarement montrées, appartenant à l’histoire artistique de la principauté.

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Référence 9788874395644
Artiste-Genre Yinka Shonibare MBE
Editeur(s) 5 Continents
Format Ouvrage broché
Nb. de pages 175
Langue Français
Dimensions 215 x 215
Date parution 02/09/2010
Poids 0.720

Catalogue de l'exposition "Looking up... les collections Art et Spectacle vues par l’artiste Yinka Shonibare MBE" présentée au Nouveau Musée National Monaco - Villa Sauber, Monaco (8 juin 2010 au 16 janvier 2011).

Monte-Carlo fut et reste le foyer d’une vie artistique particulièrement féconde pour les arts de la scène. On découvrira la «maquétothèque» Visconti de l’opéra de Monte-Carlo, les fabuleux décors lumineux d’Eugène Frey, l’étrange collection de tableaux transparents du marquis du Périer du Mouriez, des boîtes religieuses fabriquées par des carmélites provençales de la collection de Galéa, et mille autres artificialia découvertes dans les réserves, évoquant les cabinets de curiosités des XVIIe et XVIIIe siècles, ancêtres des musées européens.

Un atelier de conservation des costumes, qui sera ouvert pendant toute la durée de l’exposition, permettra au public d’appréhender les faces cachées du musée.

Yinka Shonibare MBE («Member of the British Empire»), artiste nigérian vivant à Londres, où il est né en 1962, aime associer dans ses œuvres différents univers en un seul et même espace, parce qu’il est issu lui-même de ce multiculturalisme qui constitue notre monde d’aujourd’hui.

Sa réflexion sur l’identité et la mémoire mélange ses deux cultures sous un mode esthétique inédit. Quand il introduit, au début des années 1990, le wax dans l’univers victorien et en habille la bourgeoisie, qu’il représente par des mannequins sans tête, il trouve le geste artistique qui le rend immédiatement reconnaissable.

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