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Une exposition collective inspirée de Gloria Anzaldúa, théoricienne, activiste et poète féministe chicana. À travers les histoires individuelles et la fiction, il est question de construire un récit collectif, pensé comme un outil alternatif aux narrations dominantes.
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Référence | 9782840568896 |
Artiste-Genre | Catalogue d'exposition |
Auteur(s) | Collectif |
Editeur(s) | ENSBA |
Format | Ouvrage broché |
Nb. de pages | 112 |
Langue | Français |
Dimensions | 210 x 130 |
Date parution | 2024 |
Musée | Beaux-arts de Paris, Cabinet des dessins |
Catalogue de l'exposition Autohistorias, présentée aux Beaux-arts de Paris, Cabinet des dessins (24 avril - 30 juin 2024).
« Si je n’ai pas accès à la vérité, je l’inventerai, je me raconterai moi-même, préférant mes fictions aux mensonges et aux vérités que d’autres fabriquent pour moi, sur moi ». (Gloria Anzaldúa, Ethnic Autohistorias-teorías: Writing the History of the Subject).
En 1989, Gloria Anzaldúa écrit un texte formellement inventif qui oscille entre poésie, récit personnel, commentaire historique et politique. L’essai est une boîte à outils. Anzaldúa encourage une subjectivité active et invite à nous saisir de nos histoires intimes et de la fiction pour façonner nos récits collectifs.
Animée par cet esprit, autohistorias rassemble un groupe d'artistes qui – du XVe au XXIe siècle – ont utilisé le soi comme une manière de raconter l'Histoire, de façonner l'allégorie politique et d’utiliser le récit comme moyen d'émancipation.
autohistorias présente un groupe d’auto-fabulistes, chimères, beautiful liars, chingadas et bad girls qui traversent la complexité avec un flair littéraire, une clarté esthétique et une mémoire performative. La fiction, l’autobiographie et la spéculation deviennent les outils pour composer un récit et une mémoire collective ; une individualité qui n'est pas guidée par des absolus mais par les ambiguïtés.
L'exposition rassemble des œuvres d'artistes étudiant·es et des collections patrimoniales des Beaux-Arts de Paris et celles d’artistes invité·es. Sont présentés autoportraits, collages hybrides, langages inventés, mondes parallèles – faits d’histoires personnelles, d’archives intimes. autohistorias compose un espace-temps commun né de l'intersubjectivité, de l'énonciation et de l'écoute
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