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La légendaire Baalbek libanaise vue à travers 47 chefs-d’œuvre, dessins d’architecture et de ruines antiques, de paysages (vues de villes et de déserts…).
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Référence | 9782840568599 |
Artiste-Genre | Dessin XIXe siècle |
Auteur(s) | Textes de Julien Aliquot et Emmanuelle Brugerolles |
Editeur(s) | ENSBA |
Format | Ouvrage broché |
Nb. de pages | 120 |
Langue | Français |
Dimensions | 225 x 220 |
Date parution | 2022 |
Musée | Cabinet des dessins des Cabinet des dessins des Beaux arts de Paris |
Catalogue de l’exposition Baalbek, le grand voyage au Liban, présentée au Cabinet des dessins de l'ENSBA, Paris (19 octobre 2022 - 15 janvier 2023).
Ces dessins conservés dans le fonds des Beaux-Arts de Paris, souvent inédits, proposent de voyager avec Achille Joyau (1831-1873) et Gaston Redon (1853-1921), pensionnaires de l’Académie de France à Rome dans l’antique Baalbek.
Célébré pour son gigantisme, Baalbek séduit par l’originalité de son architecture gréco-romaine enrichie d’éléments sémitiques et orientaux. Les séjours de Joyau et de Redon, qui varient entre cinq et dix mois, leur permettent de dresser un état précis des monuments antiques à travers de superbes relevés aquarellés. Leurs dessins rendent compte avec une fidélité scrupuleuse de la beauté de ces ruines entourées de hautes murailles, mais aussi de l’environnement aride qui les entoure avec à l’arrière-plan les hautes montagnes de l’Anti-Liban.
Leurs démarches proches de celle d’un archéologue restituent avec soin les nombreux édifices qui composaient le sanctuaire mais aussi leurs différents éléments architecturaux dont l’appareillage des murs, les entablements et les chapiteaux des colonnes. À cette description s’ajoute la sensibilité des artistes face aux matériaux utilisés, la végétation qui envahit de manière désordonnée les ruines, le ciel bleu éclatant.
Les qualités graphiques de ces œuvres révèlent les talents d’aquarellistes de ces jeunes architectes et sont des témoignages uniques du site de Baalbek, qui ne connaît ses premières fouilles archéologiques qu’en 1898.
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