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Une exposition inédite consacrée à Kees Van Dongen et à ses liens si particuliers avec Deauville et la Normandie. Du fauvisme à l’art moderne, Van Dongen est le peintre des mondanités : il réalise des portraits de stars, vedettes du cinéma et du théâtre, du grand monde du début du siècle entre Deauville, Paris et la Côte d'Azur.
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Référence | 9782848115450 |
Artiste-Genre | Kees Van Dongen |
Auteur(s) | Collectif |
Editeur(s) | Falaises / Musée des Franciscaines |
Format | Ouvrage relié |
Nb. de pages | 144 |
Langue | Français |
Dimensions | 280 x 240 |
Date parution | 2022 |
Musée | Musée des Franciscaines, Deauville |
Catalogue de l'exposition Van Dongen. Deauville me va comme un gant, présentée au musée des Franciscaines, Deauville (2 juillet - 25 septembre 2022).
C’est en 1913 que Kees Van Dongen découvre Deauville. Il y retrouve ses sujets favoris : scènes de plage, bains de mer, femmes élégantes, courses de chevaux, jeux de tables, folles nuits...
On le salue sur les Planches, on le croise au Casino, entouré de personnalités amies, dont il réalise le portrait, comme Suzy Solidor, Lucien ou Sacha Guitry. À l’hippodrome, il peint sur les joues et les épaules des femmes ou sur leurs ombrelles. Sur la plage, il dessine sur le sable avec son fils, Jean-Marie.
En témoin privilégié, le peintre n’a de cesse, chaque été, de se placer en éternel observateur de la société de son époque. Pour Van Dongen, Deauville représente un observatoire, un théâtre du monde...
Pendant 50 ans, l’artiste a peint, dessiné et animé les étés à Deauville. Toiles, aquarelles, dessins, estampes, croquis... Plus d’une centaine d’œuvres retracent, au sein d’un parcours thématique, la carrière d’une figure emblématique du fauvisme et son attachement à Deauville, tellement en phase avec son univers. Un ensemble inédit d’œuvres enrichi de documents illustrés mettant en lumière le regard d’un artiste qui fut observateur fasciné et amusé de Deauville.
« Deauville, ça me va comme un gant. J’y retrouve ma clientèle et ça resse.mble à la Hollande, à cause de la lumière grise et des pluies sur la mer ». Kees Van Dongen (Paris Match, 10 octobre 1959).
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