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Si le bijou est indéniablement une forme artistique, il n’est pas automatiquement considéré comme une oeuvre d’art. Jugé trop féminin (ou efféminé), trop précieux, trop ornemental ou trop primitif, il représente un des tabous du monde de l’art.
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Référence | 9782759603473 |
Artiste-Genre | Art et Joaillerie |
Auteur(s) | Sous la direction de Anne Dressen, Michèle Heuzé |
Editeur(s) | Paris Musées |
Format | Cartonné |
Nb. de pages | 176 |
Langue | Français |
Dimensions | 320 x 210 |
Technique(s) | Nombre d'illustrations : 250 |
Date parution | 2017 |
Musée | Musée d’Art moderne de la Ville de Paris |
Catalogue de l'exposition Medusa, bijoux et tabous, présentée au MAM, Musée d’Art moderne de la Ville de Paris (19 mai - 5 novembre 2017).
Ce sont ces a priori négatifs que l’ouvrage entend analyser pour les déconstruire et révéler la force subversive des bijoux.
Ce sont ces a prioris négatifs que l’ouvrage entend analyser pour les déconstruire et révéler la force subversive des bijoux.
250 bijoux sont présentés : des pièces d’artistes (de Man Ray, Calder, Dali, Picasso, Fontana, à Fabrice Gygi, Thomas Hirschhorn, Danny McDonald), de designers (de Lalique, Anni Albers, Line Vautrin, Georg Jensen, à Tony Duquette, Bless…), mais aussi de bijoutiers contemporains (tels Gijs Bakker, Otto Kunzli, Karl Fristch, Ruudt Peters, ou Sophie Hanagarth……) ou encore de maisons de joaillerie (Cartier, Van Cleef & Arpels, Victoire de Castellane…), ainsi que des pièces anonymes, plus anciennes ou extra-occidentales (de la Préhistoire, du Moyen-Age, des bijoux amérindiens, punk ou SM, du rap au bijou fantaisie).
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