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Voir la poésie, lire la peinture, telle semble être l'invitation lancée par Stéphane Mallarmé qui célèbre au travers de l'éventail la rencontre de deux arts - poésie et peinture.
Catalogue de l'exposition " Rien qu'un battement aux cieux. Les éventails dans le monde de Stéphane Mallarmé ", présentée au musée Stéphane Mallarmé, Vulaines-sur Seine (19 sept. - 21 déce. 2009).
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Référence | 9782359060119 |
Editeur(s) | Liénart éditions |
Format | Ouvrage broché |
Nb. de pages | 120 |
Langue | Français |
Dimensions | 225 x 215 |
Technique(s) | 80 illustrations |
Date parution | 03/10/2009 |
Poids | 0.430 |
De sa collection personnelle d'éventails japonais à ses éventails poèmes, offerts à sa fille geneviève ou à la belle Misia Natanson-Sert, l'univers de Mallarmé est empli de cet objet aérien.
Accessoire de mode démocratisé au XIXe siècle, l'éventail devient le support plastique des poèmes de Mallarmé. Il est objet d'art, support d'écriture, mais aussi de peinture : de nombreux artistes, comme Edgar Degas, Paul Gaughin, Maurice Denis, Berthe Morisot et un peu plus tard Jean Cocteau succomberont à cette mode de " l'esmouchoir ". Emblème féminin par excellence, il se glissera alors avec grâce dans l'iconographie impressionniste puis dans celle de l'Art nouveau.
Egalement largement représenté, l'éventail traverse les oeuvres de Mary Cassatt, Edouard Manet, James McNeill Whistler, Félicien Rops, Jacques-Emile Blanche et bien d'autres.
De l'accessoire à la feuille de poème, en passant par le recueil d'autographes ou l'affiche publicitaire, Rien qu'un battement aux cieux dévoile les multiples facettes de cet objet millénaire.
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