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Sanctuaire d’objets d’origines diverses, tous plus remarquables les uns que les autres, le musée Barbier-Mueller rassemble une collection reconnue internationalement comme un haut lieu des arts dits « primitifs », ou « arts lointains », selon la variation des terminologies dans le temps.
Ce beau livre unique présente une très riche iconographie en couleurs sur les femmes au temps du Néolithique. Deux cents illustrations de figurines, stèles, statues et d'art rupestre révèlent la façon dont les premières sociétés rurales "voyaient" la femme.
Les birdstones, petites sculptures préhistoriques en pierre façonnées par les Amérindiens, sont connues pour leur simplicité et leur beauté. Objets mythiques des collections d’art premier, ces artefacts zoomorphes entretiennent des similitudes avec l’art préhistorique européen, mais aussi avec la genèse de la sculpture du XXe siècle.
Au début du XXe siècle, une dizaine de sépultures néandertaliennes sont mises au jour dans le Sud-Ouest de la France. La mise en évidence de pratiques funéraires révélées par le mode d'inhumation lui confère une capacité intellectuelle et une pensée religieuse qui témoignent d'une véritable humanité.
En 1998, le musée du quai Branly - Jacques Chirac a reçu en héritage les collections du musée national des arts d'Afrique et d'Océanie et les collections ethnographiques du musée de l'Homme, soit près de 300 000 objets. Depuis, il a développé une politique d'acquisitions riche de près de 70 000 pièces et photographies.
A l'aube du XXe siècle en Occident, grâce au regard novateur d'amateurs éclairés - critiques d'art, collectionneurs, marchands ou artistes -, les créations des sculpteurs de pays lointains passent du statut de témoignages ethnographiques à celui d'oeuvres d'art.
Quels liens Picasso a-t-il entretenu avec les arts non-occidentaux ? Décryptage d’une relation faite d’admiration, de respect et de crainte. > Feuilletez l'ouvrage
II y a dix ans, Jacques Chirac inaugurait le musée du quai Branly dont la création couronnait son engagement en faveur du dialogue des cultures. L'exposition que le musée consacre à son fondateur explore les ressorts de sa personnalité culturelle.
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Sepik: ce mot bref, qui claque comme un coup de fouet dans l’air, hante notre imaginaire. Il est l’un de ces noms qui évoquent des contrées lointaines, des lieux mythiques.
Début 1995, l'annonce de la découverte de la grotte du Pont d'Arc, dite grotte Chauvet, est un événement mondial : son ancienneté, la qualité et le nombre de ses représentations, la variété des espèces figurées en font immédiatement l'un des chefs-d'œuvre de l'art pariétal.
Les mégalithes de Bretagne font partie des plus exceptionnels sites de France et d'Europe. Les alignements de Carnac, le site de Locmariaquer et le grand cairn de Barnenez en sont les plus emblématiques.
Référence absolue en art précolombien, la collection Barbier-Mueller est réunie pour la première fois sous la forme d'un coffret contenant deux ouvrages magnifiquement illustrés et commentés par les plus grands spécialistes mondiaux en la matière.
Une lecture accessible qui, en présentant soixante-trois pièces exemplaires, introduit à l'histoire et à la symbolique de l'art royal du Bénin.
Océanie, signes de rite, symboles d'autorité. Catalogue d'exposition, Bruxelles, ING (du 23 octobre 2008 au 15 mars 2009).
Avec un grand souci de pédagogie et de clarté, cet ouvrage remplit le défi lancé par son titre et se penche sur toutes les questions que le néophyte peut se poser à propos des arts premiers d’Afrique.
Par des manières de faire, des formes, des couleurs, un dessin et des symboles, l’art céramique des Amérindiens kali’na de Guyane est un art de tradition amazonienne. Sélection du Mai du Livre d'art 2008
Nous nous devons d’accorder à la richesse archéologique de l’Équateur actuel la place qui lui revient. Le tableau de cette mosaïque de peuplements, multipliant les échanges dans les domaines des cérémonies et des objets de culte, méritait d’être brossé dans un livre...
Un guide à l'usage du collectionneur et du marchand, qui combine informations historiques, analyses de pièces remarquables, points de repères stylistiques ou techniques, et estimations.
Le musée Barbier-Mueller, riche de la plus importante collection d'art des cultures non occidentales en mains privées, célèbre ses trente ans d'activité et les 100 ans de la collection.
Découvrir la richesse formelle des objets, l'infinie variété des matériaux qui les composent, l'originalité des inspirations, les passerelles entre l'art occidental et les collections du musée, tel est l'objectif de ce livre conçu comme une déambulation visuelle et poétique. En regard de certains objets, une citation suscite un nouveau regard sur l'oeuvre.
Les objets et oeuvres d'art collectés dans le monde entier reflètent les visions successives portées par les Européens depuis la Renaissance sur les cultures d'Afrique, d'Amérique et d'Océanie...
Présentation d'objets appartenant aux collections recueillies aux XVIIe et XVIIIe siècles par des explorateurs, des officiers, des commerçants et des missionnaires en poste en Nouvelle-France et en Louisane. Ces objets sont représentatifs des premières nations du Canada et des Indiens des Etats-Unis.
Mochica, Chancay, Chimu, Ica..., ils témoignent, du Ier siècle avant notre ère jusqu'au XVème siècle, de la vie à l'époque précolombienne et du génie de ses différentes civilisations.
Si la beauté de la ''pièce indigène'' a longtemps été l'ultime critère de reconnaissance, l'étude scientifique qui entre dans l'intimité de la matière prouve que les créateurs n'ont rien laissé au hasard.
Tristan Tzara s'est passionné pour les arts africains et océanien, il fut ultérieurement reconnu comme l'un des rares connaisseurs des arts dits primitifs et constitua une précieuse collection tout en donnant sporadiquement de brefs essais sur le sujet.
"La qualité la plus frappante des arts primitifs, commune à tous, est leur intense vitalité. C'est quelque chose que les gens ont fait en réponse directe et immédiate à la vie", ainsi s'exprimait le sculpteur Henry Moore en 1941.
L'ouvrage propose à travers des objets d'art, une approche d'anthropologie comparée de la représentation du corps et de sa dimension sociale en Afrique de l'Ouest, Europe occidentale, Nouvelle-Guinée et Amazonie.
Confrontés à de rares documents d'archives (des photos de Paul-Emile Victor à celles de Claude Lévi-Strauss, en passant par la collection de peintures sur écorce aborigènes de Karel Kupka), masques, sculptures, objets et parures retrouvent leur fonction originelle, sans rien perdre de leur envoûtante beauté.
Qu'est-ce que l'art primitif ? Est-il vraiment ''primitif'' ? Est-il vraiment de ''l'art''? Peut-on parler d'histoire de l'art à son sujet ? Quel rôle devrait-il jouer dans les musées, les galeries d'art et les foyers occidentaux ?
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Cet ouvrage donne un éclairage sur l'incroyable paradoxe de la diversité et de la cohérence de l'art africain. Il montre par la statuaire et son art du masque ce qu'il y a de particulier dans la nature intellectuelle africaine et sa contribution à l'histoire culturelle de l'humanité.
Cet ouvrage, rigoureusement documenté, retrace l'historique de la notion d'Art Brut, mêlée à l'histoire même de son initiateur. On trouvera en annexe le portrait d'un grand nombre de ces artistes marginaux, peu connus du public.