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Pendant plus de soixante ans, Claude Monet a peint sans relâche, élaborant une oeuvre qui incarne l’expression la plus pure de l’impressionnisme, pour constituer au début du XXe siècle un des fondements de l’art moderne. C’est l’ensemble de ce parcours riche et fécond que l’exposition des Galeries nationales réinterroge.
Ce catalogue accompagne une exposition monographique consacrée à l'oeuvre de Maximilien Luce (Paris, 1858- 1941). Graveur, né à Paris dans un milieu d'artisans, il entreprend vers 1880 une carrière de peintre.
Le musée de Lodève présente une importante exposition consacrée à l’invention de l’art moderne, de Gauguin aux Nabis.
Dans l'histoire de la Lettonie, le début du XXe siècle est une période particuliérement intéressante et resplendissante, qui correspond à un essor remarquable de son industrie et au déploiement de son commerce qui furent à l'origine de sa prosperité. Cette évolution marque également le domaine artistique.
L’ambition de cet ouvrage, fruit de vingt années de recherches, est de faire connaître les tableaux de jeunes artistes russes de l’académie Impériale des Beaux-Arts de Saint-Pétersbourg (Bogoliubov, Repine, Polenov, Harlamov, Savitski, Goun …) venus travailler en Normandie entre 1850 et 1914.
Dans le cadre du festival Normandie Impressionniste, le musée de Vernon a choisi de rendre hommage aux peintres qui ont pris la Seine pour sujet d'inspiration mais dont l'oeuvre et le nom, faute de recherches encore avancées en histoire de l'art ou parce qu'éclipsés par la notoriété des peintres impressionnistes, sont à ce jour trop peu connus.
Réunissant une sélection d'oeuvres, pour la plupart inédites, provenant d'une collection privée lyonnaise, cette exposition retrace une histoire du paysage en peinture en France au XIXe siècle.
Pour célébrer l’année de l’Impressionnisme en Normandie, le musée d’art Thomas-Henry de Cherbourg-Octeville a choisi de rendre hommage à Jean-François Millet, l’enfant du pays.
Au cours des années 1892 et 1893, Claude Monet s’installe à Rouen, place de la Cathédrale en face de l’édifice à partir de 3 points de vues distincts. Seul face au monument, il peint aux différentes heures du jour.
Amateur éclairé, collectionneur passionné, François Depeaux (1853-1920), un industriel originaire de Rouen, posséda entre 1880 et 1920 près de six cents tableaux, de Courbet à Dufy en passant par les impressionnistes qui avaient sa faveur.
Publié à l’occasion de la première exposition consacrée à la ville de Rouen vue par les impressionnistes, ce catalogue rassemble sept essais d’historiens de l’art qui analysent d’une part l’importance de Rouen dans l’histoire de l’impressionnisme et dans la carrière des...
Les relations entre la Normandie et la peinture sont désormais célèbres, la région étant devenue, grâce au progrès du chemin de fer au XIXe siècle, le rendez-vous des artistes parisiens : Jean Baptiste Corot, Gustave Courbet, Claude Monet, Albert Marquet, Théodore Géricault, Johan Berthold Jongkind et avec ceux dont la vocation doit tout au terroir...
Ce guide permet de retrouver les traces des impressionnistes, les maisons qu'ils ont habités, les sites qu'ils ont représentés. Des photographies anciennes, confrontées à la reproduction de leurs oeuvres, restituent les paysages et agglomérations dans leur état original à la même époque.
Poser un regard sur l'histoire de la peinture en Corse entre 1840 et la fin du XXe siècle, qui correspond aux collections du département de peinture corse du Palais Fesch-musée des Beaux-Arts, donne à constater une très grande variété de thèmes et de sujets.
Sur leurs toiles parfois immenses, les peintres du XIXe siècle, célèbres ou moins célèbres ont su déployer un savoir : faire incroyable pour immortaliser la grande scène de l'Histoire de France, de la Révolution et du Premier Empire notamment.
Cette exposition et l'ouvrage qui l'accompagne sont consacrés aux salons privés de Paris fin de siècle qui exercèrent une influence artistique indéniable.
Fruit d'une recherche originale, l'ouvrage de Michel Draguet explore les différentes tendances du dernier courant artistique du XIXe siècle. L'auteur met à profit sa vaste connaissance du sujet pour esquisser un panorama détaillé du symbolisme dans l'art belge, de Rops à Spilliaert, en passant par Khnopff, Frédéric, Ensor, Minne et de nombreux autres...
Camille Martin (1861-1898) fut l'un des plus actifs représentants à Nancy de "l'art dans tout", principe cher à l'art nouveau et à l'Ecole de Nancy.
Ce guide conduit le lecteur sur les pas des impressionnistes, dans les lieux où ils ont vécu et travaillé. Au contact des paysages normands, ces artistes de plein air ont créé des oeuvres lumineuses et uniques, jamais peintes jusqu'alors.
L’exposition « Les Orientales » à la Maison de Victor Hugo à Paris est l’occasion de présenter une centaine d’œuvres en correspondance avec les poèmes de Victor Hugo : peintures, dessins, sculptures, livres illustrés et gravures, dont des œuvres de Delacroix et de...
L'existence de Moreau, contrairement à ce que croyait le peintre lui-même, éclaire singulièrement une oeuvre où il s'est beaucoup plus impliqué qu'il ne le pensait : il est un des initiateurs et des principaux représentants du courant symboliste qui a prévalu à la fin du XIXe siècle.
Une histoire du paysage à travers les chefs-d'oeuvre des collections des musées de Beauvais et de Honfleur
Catalogue de l'exposition: Rennes, Musée des Beaux-Arts. Exposition terminée le 8 janvier 2005.
Le château de Compiègne occupe une place de choix dans l'histoire du Second Empire. Napoléon III et l'impératrice Eugénie y ont laissé l'empreinte indélébile de leurs fréquents séjours.
Pour Lawrence Gowing, Turner est le peintre qui renverse la tradition occidentale (qui l'orientalise, en un sens).
Considéré en son temps comme un des peintres les plus novateurs de la génération symboliste, proche de Léon Bloy, célébré par Verhaeren, Aurier ou Gourmont, puis par Apollinaire, Henry de Groux a été néanmoins progressivement oublié durant le XXe siècle...
Le Musée de la Vie romantique présente un hommage à Frédéric Chopin (1810-1849) par l'évocation de ses années parisiennes (1831-1849). L’atmosphère créée est la transcription plastique du climat à la fois historique, esthétique et poétique où s’est épanoui le génie musical de Chopin.
Partant du postulat que l'imagerie fait partie intégrante du débat social, cet essai magistral étudie au prisme de la culture visuelle plusieurs grands débats sociaux qui ont défini à la fin du XIXe siècle l'idée de modernité.
Première monographie consacrée à Albert Marie Dagnaux (1861-1933), cet ouvrage retrace le parcours artistique d'un peintre dont l'art se situe à la croisée des chemins entre impressionnisme et naturalisme.
William Turner (1775-1851) est, avec John Constable le plus grand peintre anglais du XIXe siècle.
La peinture de Meijer de Haan épouse et développe les principes du synthétisme défendu par Bernard et Gauguin : simplification et aplats de couleurs vives sont mis au service de l'évocation d'une Bretagne volontiers perçue comme "primitive". Première publication de référence sur ce peintre de l’école de Pont-Aven.
Trop souvent présentés en France avant tout comme les précurseurs de l'impressionnisme, Turner et son oeuvre sont ici replacés dans le riche contexte historique au sein duquel ils sont apparus.
Entre admiration et compétition, J.M.W. Turner a entretenu tout au long de sa prodigieuse carrière un dialogue incessant avec les maîtres anciens comme avec ses contemporains. Plongeant aux sources de son oeuvre, ce livre invite à saisir l'évolution d'un artiste qui révolutionna la peinture du XIXe siècle.
Avec son titre provocateur emprunté à l'expression d'un ami du célèbre paysagiste, cet essai monographique sur Turner inscrit d'emblée le célèbre paysagiste dans une relation libre avec les apparences.
Tout au long de la seconde moitié du XIXe siècle, alors que l'Italie fait l'objet de profondes mutations politiques et sociales consécutives à l'unification du pays, un bon nombre de peintres choisissent de s'installer à Paris.
Catalogue d'exposition avec des articles permettant de saisir la place particulière occupée par le peintre A. Laugé (1861-1944) dans le pointillisme.
Jean Sala, portraitiste de talent, peint une vision romanesque de l'Espagne, avec ses modèles où pointent des emblèmes de la Parisienne du début du 20e siècle. Il gagne aussi sa popularité en portraiturant de nombreuses personnalités issues du monde du spectacle (A. Dorgère, Polaire, Constant Coquelin, Gabrielle Robinne...)
Exclu, comme la plupart des membres de l'avant-garde, des galeries de l'Exposition universelle de Paris en 1889, Paul Gauguin et ses disciples exposèrent leurs oeuvres dans un café sur le site même de l'événement.
Joseph Mallord William Turner (1775-1851) est aujourd'hui considéré comme le plus grand - car le plus novateur, sans doute - des peintres anglais de paysages et l'un des maîtres de la peinture européenne au XIXe siècle.
Nazaréens ? Le terme de Nazarener apparaît pour la première fois, à l'écrit, en 1816-1817. Il désigne alors, sur le mode ironique, une colonie de jeunes peintres allemands (ou de culture germanique) installés à cette époque à Rome.
La destinée artistique de la reine d’Ecosse au XIXe siècle. Ce catalogue montre l'influence décisive de l'ère romantique dans la perception de Marie Stuart pour la postérité. Catalogue de l'exposition "Marie Stuart, une figure romantique ? " présentée au musée des Beaux-Arts, La Rochelle (16 octobre 2009 – 18 janvier 2010).
Riche de près de 1140 tableaux, la collection des peintures flamandes et hollandaises du musée du Louvre (du XVe au XIXe siècle), d'une variété remarquable et célèbre à plus d'un titre par quelques chefs-d'œuvre universellement connus, fait l'objet d'un nouveau catalogue qui succède à celui, beaucoup plus sommaire, de 1979.
Durant plusieurs décennies, avec enthousiasme et perspicacité, Karen B. Cohen a rassemblé une remarquable collection d'œuvres d'Eugène Delacroix. Cet ensemble de dessins et d'esquisses peintes force l'admiration, par sa qualité et sa variété mais aussi par la passion qu'il a fallu à son auteur pour réunir tant d'œuvres au fil des ans depuis New York.
Figure majeure du mouvement romantique, le britannique William Blake (1757-1827) fut à la fois peintre, dessinateur, graveur et poète. L'artiste s'attachant à illustrer lui-même son Oeuvre littéraire, les textes de Blake se développent suivant les lignes de ses gravures et dessins hallucinés, et deviennent, dès lors, de véritables enluminures.
Le catalogue présente la persistance de l'influence italienne sur toutes les recherches artistiques de la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle et met en lumière les rapports entre les artistes français et l'Italie, depuis le voyage de Manet en 1856 jusqu'à celui de Picasso en 1917. > Voir détails de l'exposition