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Ingres est un peintre, non un écrivain. Pourtant ses lettres à Jean-François Gilibert, son ami d'enfance, et à sa fille Pauline, toujours intimes et spontanées, abondent en confidences et en informations sur ses oeuvres et sur les milieux où il a vécu, Montauban, sa ville natale, Paris, Rome, Florence
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Référence | 9782745311153 |
Editeur(s) | Champion |
Format | Relié |
Langue | Français |
Poids | 0.855 Kg |
Publiée partiellement en 1909, ces lettres sont présentées ici pour la première fois dans leur intégralité, d'après les manuscrits originaux. Bibliothèque des Correspondances n°15.
"Gilibert était un ami d'enfance du peintre. Montalbanais, il demeura jusqu'à sa mort dans la ville natale d'Ingres où il s'occupa non seulement des intérêts de celui-ci, mais aussi de veiller, de loin, sur les sœurs de l'artiste dont le comportement causait beaucoup de soucis à ce dernier. Les lettres fourmillent d'informations passionnantes, tant sur son caractère que sur ses peintures. Elles avaient été publiées en partie, mais de manière tronquée. Scrupuleuse, très annotée, cette édition, enrichie d'une longue introduction, d'un chapitre sur la collection Gilibert et de diverses annexes (dont d'autres lettres d'Ingres à des correspondants variés) est un outil indispensable pour les chercheurs." Extrait article Tribune de l'art.
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