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Un ouvrage théorique de Léonard de Vinci dans lequel il montre que la peinture est régie par des règles et des principes, à l'instar des mathématiques.
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Référence | 9782251444291 |
Artiste-Genre | Leonard de Vinci |
Auteur(s) | Anna Sconza, Pierre Rosenberg (Préfacier), Carlo Vecce (Préfacier) |
Editeur(s) | Belles Lettres - Le Cabinet des Images |
Format | Ouvrage broché |
Nb. de pages | 466 |
Langue | Français/Italien |
Dimensions | 240 x 220 |
Date parution | 026/12/2012 |
Epoque | XVIe siècle |
Poids | 1.050 |
Afficher le lien de contact | Oui |
Si l'oeuvre peint de Léonard de Vinci (1452-1519) a installé immédiatement l'artiste comme un des phares de la Renaissance, en revanche, ses écrits sur l'art, restés en manuscrit et dont le déchiffrement pose encore aujourd'hui des problèmes redoutables, connurent un succès différé et médiatisé: c'est une sélection anonyme de ces écrits, opérée à partir du Libro di pittura et publiée pour la première fois à Paris en 1651 sous le titre de Trattato della pittura par les soins de Raphaël Trichet du Fresne, conjointement à la traduction française (Traitté de la peinture) due à Roland Fréard de Chambray, qui consacre la fortune de Léonard théoricien, l'impose à l'attention de l'Académie Royale de Peinture et en fait pour longtemps un des textes fondateurs de la pensée sur l'art.
Cette édition, présentée et annotée par Anna Sconza, confronte pour la première fois les deux versions contemporaines, italienne (fondée sur le texte de Francesco Melzi) et française, richement illustrées par les gravures de René Lochon, inspirées par les dessins préparatoires de Nicolas Poussin et de Charles Errard.
Vers 1490, à la cour de Ludovic le More, duc de Milan, Léonard de Vinci songeait déjà à composer un traité, dont le manuscrit A de la bibliothèque de l'Institut à Paris contient le projet et le premier noyau.
Jusqu'à sa mort, il ne cessa de rédiger des notes, élargissant, compliquant et raffinant son dessein à un point tel que le plan et la possibilité de le structurer et de le publier lui firent défaut.
Après sa mort, son héritier, Francesco Melzi, en fit faire une compilation, fidèle mais inachevée et maladroite, qui est aujourd'hui le Codex Urbinas lat. 1270 de la bibliothèque Vaticane. Une cinquantaine de copies dérivées et incomplètes de ce manuscrit attestent la diffusion des idées et des recherches de Léonard au XVIe siècle.
La première édition du Tratatto della Pittura, parue en 1651, est l'oeuvre de Raphaël du Fresne (Paris, 1651). Écrite d'abord en italien puis en français, elle est basée sur une copie du Codex Urbinas latinus 1270 que possédait Cassiano dal Pozzo. L'édition de Guglielmo Manzi, parue en 1817, est la première basée directement sur le Codex Urbinas latinus 1270.
Edition bilingue. Illustrations de Nicolas Poussin. Avant-propos de Pierre Rosenberg.
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