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Une exposition inédite sur l’oeuvre de Jean Martin (1911-1996), peintre autodidacte lyonnais qui permet de découvrir l’univers original de l'artiste, marqué par un style réaliste et expressionniste, et ses nombreuses contributions pour les mondes du théâtre et de la télévision.
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Référence | 9789461613066 |
Artiste-Genre | Jean Martin |
Auteur(s) | Sous la direction d’alice Massé et de Jean-Christophe stuccilli |
Editeur(s) | Snoeck |
Format | Ouvrage broché |
Nb. de pages | 304 |
Langue | Français |
Dimensions | 235 x 163 |
Technique(s) | 450 illustrations N&B et couleurs |
Date parution | 2016 |
Musée | Musée La Piscine, Roubaix |
Catalogue publié à l'occasion de l'exposition Jean Martin, de l'atelier à la scène, présentée au musée La Piscine, Roubaix (25 juin - 9 octobre 2016).
Fils d’ouvriers, le Lyonnais Jean Martin (1911-1996) développe en autodidacte une pratique assidue du dessin et de la peinture, jusqu’à sa rencontre déterminante, dans les années 1920, avec le peintre Lucien Féchant et le sculpteur Georges Salendre.
Présent pour la première fois au Salon d’Automne en 1933, au Salon du Sud-Est à partir de 1934, puis au Salon des indépendants à Paris à partir de 1935, il expose en 1938 à la galerie Billiet-Vorms à Paris, aux côtés de Georges Rohner ou de Jean Lasne, avec le groupe Nouvelle Génération, ultime manifestation des « Forces Nouvelles », créées autour du critique d’art Henri Héraut en 1935. Durant l’Occupation, Jean Martin expose régulièrement à la galerie Folklore de son ami Marcel Michaud à Lyon ainsi qu’à la galerie Jouvène à Marseille, puis, de 1945 à 1947, à la galerie de Katia Granoff à Paris. Il participe en outre, en 1940, avec Marc Barbezat, à la naissance de la revue d’avant-garde L’Arbalète, dont il dessine la première de couverture.
En 1946, il s’installe à Paris et travaille pour le théâtre et la télévision. Au début des années cinquante, il s’oriente définitivement vers la tradition médiévale, travaille à la tempera et crée des images empreintes d’idéal roman et byzantin, proches d’une inspiration surréaliste ou symboliste. Il ouvre rue Saint-Sulpice, la galerie A.T.C. (Art et Tradition Chrétienne), où il promeut peintres, sculpteurs, potiers, dinandiers et tisserands et joue un rôle important dans le renouveau de l’art sacré en France à l’heure de la Reconstruction.
Avec cette exposition organisée à l’initiative de l’association « Mémoire du peintre Jean Martin », les donations consenties à La Piscine par la famille en 2011 et 2013 seront mises en exergue et replacées au sein du parcours artistique d’un peintre original, attaché à la question de l’objet et du décor.
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