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Après 1850, l'image à sensation est partout : livres et revues, presse et annonces prolifèrent. Né en 1891, Max Ernst est l'enfant de cette révolution-là. Sa culture et sa mémoire visuelles vont être mises à profit en 1933 lorsqu'il décide, en plein surréalisme, de détourner un certain nombre d'illustrations anciennes.
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Référence | 9782070126187 |
Artiste-Genre | Max Ernst (1891-1976) |
Editeur(s) | Gallimard |
Format | Ouvrage relié |
Nb. de pages | 408 |
Langue | Français |
Dimensions | 305 x 240 |
Date parution | 25/06/2009 |
Poids | 2.396 |
Afficher le lien de contact | Oui |
Catalogue de l'exposition « Max Ernst. Une semaine de bonté. Les collages originaux », présentée au musée d'Orsay, Paris (29 juin - 13 septembre 2009).
Les 184 collages d'Une semaine de bonté ont été créés pendant l'été 1933 lors d'un séjour de Max Ernst à Vigoleno, au nord de l'Italie. L'artiste puise son inspiration dans des gravures sur bois issues de romans populaires illustrés, de journaux de science naturelle ou encore de catalogues de vente du XIXe siècle.
Découpant minutieusement les motifs qui l'intéressent, il les assemble, portant sa technique de collage à un degré de perfection incomparable. Pour qui n'a pas les illustrations d'origine sous les yeux, il est difficile de pouvoir établir à quels endroits Max Ernst est intervenu. Au final, chaque collage forme un engrenage, donnant naissance à des êtres extraordinaires évoluant dans des décors fascinants, des mondes visionnaires défiant l'entendement et le sens de la réalité.
Le livre qui résulte de ces rapines géniales en 1936 – sans texte et se déclinant selon les jours de la semaine – permet de comprendre comment le XXe siècle s'est nourri de son prédécesseur.
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